Par L’intervieweur congolais
La Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI) a frappé fort le 05 janvier 2024, en publiant la liste des candidats fraudeurs au niveau national, provincial et Communal aux élections du 20 décembre 2023.
Malgré son processus électoral kilométrique, la CENI avait quand-même publié les résultats de la présidentielle le 31 décembre 2023, en plein jour et pas entourée des chars de combat.
Cette publication avait donc permis à Félix Tshisekedi d’être réélu Président de la République Démocratique du Congo à 73,34 % dépassant ainsi les 25 autres candidats, dont le pleurnicheur des voix, Martin, du réparateur des femmes Denis et de l’acheteur des candidats Moïse et bien d’autres.
Des voix et mains se lèvent ce matin pour applaudir la CENI de Kadima pour avoir invalidé certains candidats visiblement corrupteurs, à l’exemple de Gentiny Ngobila, Charles Mbutamutu, Tatiana Pembe, Nsingi Pululu à Kinshasa et bien d’autres candidats fraudeurs des circonscriptions concernées parmi les 15 détectées.
Ayant appris cette nouvelle, Félix Tshisekedi a réagi en ces termes via son compte Twitter, dénommé Félix A. Tshisekedi ( Parody)
« Aucun fraudeur ne mérite d’être dirigeant…» Écrit Félix Tshisekedi.
C’est à ce niveau que L’intervieweur Congolais se doit le devoir de se poser ces 4 petites questions :
1. Pourquoi la CENI n'avait-elle pas invalidé ces 82 candidats fraudeurs avant la publication de la présidentielle ?
2. Que faire des voix des machines à voter (DEV) utilisées par ces candidats fraudeurs invalidés qui ont permis à Félix Tshisekedi d'être réélu ?
3. Cette opération d'invalidation va-t-elle se poursuivre dans d'autres circonscriptions qui présentent des preuves lamentables de fraude, bourage d'urne, vandalisme des matériels électoraux, détention illégale des machines à voter ( DEV ) ?
4. Sur quel facteur d'invalidation la CENI s'appuie-t-elle ?L’intervieweur congolais vous aime tous et toutes.
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