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Par la rédaction

D’entrée de jeu, Thierry Monsenepwo a fait savoir que l’histoire du Congo ne s’écrira nulle part ailleurs, qu’ici au Congo, pas à l’étranger mais bien ici au Congo par et pour les congolais eux-mêmes.

Digne d’un congolais fier de l’être, Thierry Monsenepwo a tenu à rappeler aux vieux loups de l’ancien régime de cesser de considérer la RDC comme leur propre bien privé, où ils peuvent être au pouvoir hier, partir et revenir à leur guise pour réclamer ce même pouvoir.

Selon lui, à l’heure actuelle, l’ancien Président de la République et sénateur à vie, Joseph Kabila doit savoir qu’il n’y a pas de fonction éternelle qui ne soit dévolue qu’à un seul individu.

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Il poursuit, que Joseph Kabila se contente du Sénat, après 18 ans du vide, il pourrait mieux servir le pays, peut-être, étant que Sénateur.

18 ans à la tête d’une nation, c’est un temps plus que suffisant pour agir.
Ce n’est pas en ajoutant 18 années de plus que les échecs d’hier, deviendront des succès.

Pour ce qui est des hommes d’État du passé, Thierry Monsenepwo a partagé un passage en ces termes : « L’histoire nous enseigne que ceux qui s’accrochent au passé et qui tentent de revenir au présent, finissent toujours par être enterrés par la peine de l’histoire ».

A en croire ce cadre de l’Union Sacrée de la Nation : « Le Congo un rôle à chacun.
Certains ont été élevé au rang de sénateur, une fonction honorable et essentielle dans la vie politique de notre nation.
Servir le Congo, c’est aussi contribuer activement au sénat ou dans toute autre fonction législative.
Il ne faut jamais confondre la magistrature suprême avec un bien personnel ou un droit éternel ». A-t-il fait savoir !

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