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Par la rédaction

Ceci perdure à partir de l’assemblée générale tenue le lundi 11 octobre dernier à l’Institut Tupendane, en ville de Goma où les personnels de la craie blanche ont affirmé haut et fort, qu’ils retourneront sur le chemin de l’école lorsque le gouvernement congolais répondra favorablement à leurs revendications.

Parmi lesquelles, la suppression des zones salariales, la prise en charge des enseignants nouvelles unités (NU) et l’amélioration des conditions de vie de leur vie.

Par ailleurs, ils dénoncent les menaces dont ils font l’objet de la part du ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et technique (EPST), Tony Mwamba. Ce dernier rappelle-t-on, avait annoncé il y a quelques jours, la désactivation dans le système de paie, de tout enseignant qui tenterait d’entrer en grève en cette nouvelle année scolaire.

« Nous pensons qu’il est illégal d’intimider les enseignants jusqu’à ce niveau. Désactiver un enseignant du système éducatif parcequ’il a revendiqué son droit par la grève, c’est la pire violation de la constitution qui puisse exister« , a dit Patient Rafiki, secrétaire exécutif de la FOSYNAT.

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