
Par la rédaction
Un jour après l’assassinat de Chérubin Okende Senga, député national, porte-parole du parti politique Ensemble pour la République, 3 leaders de l’opposition ( Katumbi, Sesanga et Matata), à l’exception de Fayulu réagissent via un communiqué de presse paru ce 14 juillet 2023, sans passer par le dos de la cuillère, traitent le pouvoir en place, de régime de terreur et d’oppression.
Toujours à couteaux tirés avec leur camp adverse, Katumbi, Sesanga et Matata dénoncent à travers le même communiqué l’instrumentalisation de la justice, des arrestations arbitraires… et pointent du doigt les services de sécurité qui travailleraient pour des fins politiques et cela ne leur permet plus d’exercer les activités pré-électorales et électorales en toute sécurité.
Pour remédier à leurs inquiétudes d’ordre sécuritaire, ces trois candidats président de la République tendent la main sans hésiter à la Monusco, de leur venir en aide afin de les sécuriser jusqu’à la proclamation des résultats définitifs de l’élection présidentielle.

