
Par la rédaction
Le gouvernement congolais a annoncé reprendre les exécutions capitales, c’est-à-dire la peine de mort.
Cette peine va notamment s’appliquer aux militaires accusés de trahison et bien d’autres catégories de personnes énumérées dans notre prochain article.
Plusieurs organisations pour les droits humains et acteurs politiques ont immédiatement dénoncé cette décision.
L’acteur politique, Martin FAYULU, est à son tour, contre cette décision en traitant le pouvoir en place d’un régime qui bafoue la Constitution et les lois, ainsi que les libertés et droits humains.
« Dans un climat d’injustice généralisée, cette décision menace les résistants/opposants politiques en les exposant à des règlements de compte, utilisant le concept flou de « traître ». La volonté affirmée du régime de consolider sa dictature est désormais claire, » a-t-il estimé.