Plusieurs médias sociaux africains durant ces deux jours parlent d’une quelconque liberté provisoire de l’homme qui a déshabillé plus de 400 femmes dans son lieu de travail et ailleurs, Balthasar Ebang, Bello de son surnom.
Selon un article de Jeune Afrique consulté par notre rédaction, l’homme de 400 vidéos devenues virales à travers le monde demeure au geôle.
L’Équato-Guinéen Baltasar Ebang Engonga demeure emprisonné à Malabo.
Visé par une enquête pour détournement de fonds, il a ensuite vu plusieurs centaines de ses vidéos intimes fuiter sur internet.
Depuis, le scandale menace de bouleverser l’entourage politique des Obiang.
Pendant de longs mois, les déboires de Baltasar Ebang Engonga, « Bello » de son surnom, n’ont intéressé personne en Guinée équatoriale. Une enquête avait été ouverte à Malabo en mars 2024 après une plainte déposée par l’État pour faire la lumière sur des mouvements de fonds jugés suspects et les enquêteurs le soupçonnaient d’avoir détourné de l’argent public vers des comptes privés aux Îles.
Baltasar Ebang Engonga était avant d’aller en prison directeur de l’Agence nationale d’investigation financière de la Guinée Équatoriale.