
Par Jacques youssein KIJAJA/Tshikapa
La panique s’observe depuis lundi 27 juin dernier au poste frontalier de kamako situé à plus de 250 kilomètres de la ville de Tshikapa, la frontière entre la RDC et l’ Angola est fermée à la base du déploiement des millitaires angolais le long de la frontière reliant les deux pays.
La société civile locale dénonce les arrestations clandestines des cultivateurs et fermiers par les éléments de l’armée angolaise.

À en croire, Abbé Trudeau KESHILEMBE LAMBA coordonateur de la nouvelle société civile de kamako, la panique est constante
quelques jours après l’arrestation des onzes sujets angolais porteurs des armes blanches à la frontière de kabuakala lundi 20 juin dernier sur le sol congolais.
Ces derniers ont été relâchés le même jour après concertation des autorités de deux pays.

Les détenteurs des titres miniers angolais qui opèrent le long de la frontière Congolo-Angolaise outillent les angolais se trouvant à Kamako avec les armes blanches pour lutter contre l’incursion de creuseurs artisanaux congolais.
Les lignes de démarcation posant un sérieux problème, l’abbé Trudeau KESHILEMBE LAMBA précise que la frontière entre la RDC et L’ANGOLA est fermée au niveau du poste frontalier de kamako pas des trafics commerciales, ni entrée ni sortie.

La société civile de cette partie du pays invite la population à veiller sur cette situation et aux autorités de deux pays d’utiliser les stratégies diplomatiques.