
Par la rédaction
Au Burkina Faso, après l’interpellation le 24 décembre 2023, à Ouagadougou d’Ablassé Ouedraogo, ancien ministre des affaires étrangères et conduit vers une destination inconnue, La direction de son parti, Le Faso Autrement avait exprimé dans un communiqué son « inquiétude », son « indignation » mais aussi avait exigé la libération sans condition de l’ancien ministre des Affaires étrangères burkinabè, qui avait exprimé des critiques en octobre à l’encontre des autorités de transition (Armée).
Début novembre, le parti avait dénoncé la décision de l’armée de « réquisitionner son président, Ablassé Ouédraogo » pour « l’envoyer au front » dans « la lutte contre le terrorisme ».
En 2024, on le voit sapé en tenue militaire bien au front pour défendre l’intégrité territoriale du Burkina Faso.
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