
Par la rédaction
C’est au cours de la troisième édition de la conférence dénommée » Marque ta génération« , organisée par l’agence » YPROD« , ce samedi 19 février 2022, à l’Université Pédagogique Nationale (UPN), dans la salle K2, que le jeune entrepreneur, coach de cours d’éloquence et de la rhétorique, détenteur d’un diplôme de licence en économie de l’Université Protestante au Congo (UPC), David Kabongo a martelé à travers une interview lui accordée par Lintervieweur.cd, sur les notions de l’entrepreneuriat en République Démocratique du Congo et en Afrique toute entière :
Pouvez-vous nous expliquer l’importance de votre présence dans cette salle ?

Aujourd’hui il était question de la troisième conférence où il était question de parler de l’entrepreneuriat encore une fois de plus, mais c’était la troisième conférence dénommée « Marque ta génération« , nous étions là, il y’a eu plusieurs intervenants, parmi lesquels j’eus été.
Quand à moi j’ai plutôt intervenu sur une thématique assez inédite, » Négro-preneuriat « , qui est un concept…,dont je suis instigateur et qui a pour sous-thème : » La révolution pharaonique de l’Africain « , l’homme noir au sommet de la pyramide mondiale.
À quoi mènera-t-il cette démarche ?

Au fait, nous voulons faire apprendre à l’homme noir en général et au congolais en particulier le panafricanisme, la conscience de la force qui est en lui.
L’homme noir en général, peut prendre la tête de la gestion économique, politique, culturelle, mondiale et il est plus que temps que la jeunesse congolaise puisse finalement se réveiller.
On est fatigué eeeh ! Avec toute cette manière de vivre dans la futilité, mais nous pouvons changer la donne et cela se passe par l’entrepreneuriat.
Et par »entrepreneuriat », qu’est-ce-que j’entends ? Pour faire court, c’est la capacité de s’autodéterminer, de prendre son destin en mains, de se tracer une voie qui est plutôt idéale pour soi-même et de ne pas vivre plutôt de manière hétérogène, c’est-à-dire mèner une vie qui nous a été définie par certains prédateurs.
Propos recueillis par Joseph Tshibanda