
Par la rédaction
Après la mise en liberté provisoire de François Beya Kasonga le 16 Août dernier, suite à son état de santé jugé critique par la haute cour militaire, un membre du Collectif Free François Beya Kasonga, dénonce des menaces de mort et filatures que subissent les membres dudit collectif.
Selon leur communiqué de presse, parvenu à la rédaction de Lintervieweur.cd, plusieurs partisans de ce collectif seraient en clandestinité, notamment : » Jean-Pierre Mulumba, Victor Tesongo, Sonia Lukusa conseillère en matière de communication de François Beya Kasonga et ses enfants et bien d’autres membres qui seraient contraints jusqu’à ce jour de regagner leurs domiciles ».