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Interdite d’engager les entreprises de l’État pendant cette période transitoire, en attendant l’entrée en fonction du gouvernement Suminwa, l’ex-ministre du portefeuille, Madame Adèle Kayinda avait instruit au Directeur général de la Minière de Bakwanga (MIBA), André Kabanda de suspendre toutes les dernières modifications intervenues sur l’organigramme de l’entreprise jusqu’à nouvel ordre pour éviter toute forme de dérapages.

Le DG, André Kabanda boycotte la note de la ministre de porte feuille lui demandant de suspendre tout mouvement du personnel. Avant d’effectuer son voyage à Kinshasa, il a intimé l’ordre de faire fonctionner certains services que la ministre du portefeuille lui avait demandé de surseoir jusqu’à nouvel ordre.

Parmi ces services qui fonctionnent sous son dictat depuis Kinshasa, l’on note l’entité du Chef de Division Traitement ( DTR), Chef de Service Bureau Finition, y compris le Chef de Bureau Classement et bien d’autres services non énumérés.

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Ce dernier ayant aussitôt entamé une vice procédure d’embauche des ressortissants de son village natal, s’est imposé dans le silence à exclure les Ankutshu et Anamongo de la MIBA issus de l’appartenance tribale du PCA Jean-Charles Okoto et de Madame Cécile Mbutshu.

Ses manœuvres ont ainsi occasionné une psychose dans le chef des agents et cadres de cette entreprise de l’État issus d’autres provinces de la République Démocratique du Congo.

Dans une mise au point lue sur les antennes de la RTNC/Mbuji-Mayi, le Président de l’Association Ankutshu-Anamongo (A.A.A), Papias Penawembo, ces travailleurs déplorent le calvaire inégalable créé par le DG, André Kabanda Kana qui s’est allié à une structure informelle dite des enfants de la MIBA pour tout bousiller au sein de cette entreprise, quelques jours après avoir bénéficié d’une lueur d’espoir lors de l’arrivée du Président du Conseil d’Administration, le stratège, Jean-Charles Okoto Lolakombe.

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