
Dans les traditions africaines, les paroles d’un mort sorties de son vivant valent plus que les paroles de l’évangile hein ! ( Rires).
Le Baobab Baruti est décédé au Canada de suite d’une crise cardiaque et quelques heures après, des questions se posent de gauche à droite pour détecter réellement qui occupera son fauteuil de pouvoir, si ce n’est l’un de ses fils comme cela se ferait à l’africaine.

Carlos Baruti pourrait succéder à son père, le feu pasteur Baruti Kasongo, à la tête de « Baruti Tabernacle », une communauté qui regorge autant d’extensions dans presque tous les coins et recoins du monde.
Beaucoup crient depuis toujours sur le business héréditaire pratiqué dans l’église, corps du Christ, maquillé aux couleurs d’un royaume.
Si le doute persiste, si la peur enveloppe votre esprit sur la survie de Baruti Tabernacle, allez-y sur les médias sociaux voir les contenus audiovisuels frustrants du défunt père de Carlos Baruti avant de rendre l’âme à l’endroit de ceux qui se faisaient vedette dans la cour de l’héritage de sa progéniture.

Son fils Carlos Baruti prendra la relève, aussi prudent et prévoyant qu’il était, le prédicateur à la tête de plusieurs églises de son ministère « tabernacle » avait déjà prévenu ses fidèles et associés. Peut-on lire çà et là !
À suivre !