Gloria Lwamba, figure montante de la scène politique en République Démocratique du Congo, a récemment exprimé de vives inquiétudes au sujet de menaces qu’elle attribue à Armand Yav et Muyumba. Dans une déclaration acerbe, elle accuse ces individus de harcèlement, affirmant qu’ils tentent de l’entraîner dans une secte aux pratiques de voyeurisme, adoptant une approche politique inspirée du Rwanda et des influences néfastes.
Une situation alarmante
Lwamba a dévoilé que, depuis sa convocation aux consultations par le chef de l’État, elle a été ciblée par un groupe qu’elle désigne comme le « clan des ennemis de la République ». Ses accusations se concentrent particulièrement sur Muyumba, qu’elle accuse de la traquer pour la convaincre de rejoindre une secte qu’elle considère comme déplorable.
Cette allégation de harcèlement spirituel suscite de vives inquiétudes au sein du public et parmi ses partisans. Les conséquences de ce phénomène viennent s’ajouter aux nombreux défis auxquels fait face la RDC.
Appel à la vigilance
Dans un contexte déjà tendu, Lwamba appelle à la vigilance et réclame la protection de son intégrité. Elle exhorte les autorités à ne pas ignorer ces menaces qu’elle considère comme une atteinte à la sécurité individuelle et à la paix sociale. Ses déclarations soulèvent des questions quant à la manipulation religieuse et spirituelle dans la sphère politique.
L’affaire, qui ne fait que débuter, pourrait avoir des répercussions significatives, tant sur le plan personnel que politique, et pourrait inciter d’autres voix à se manifester contre des pratiques jugées inacceptables. Dans ce climat d’incertitude, le regard se tourne vers le gouvernement pour agir face à ces accusations graves.
« Je fais également appel au ministre de la Justice afin d’obtenir la protection nécessaire contre ces individus qui représentent une menace pour mon bien-être et celui de ma famille. Il est crucial que la sécurité des citoyens soit une priorité et que ceux qui se livrent à des comportements menaçants soient tenus responsables de leurs actes. » a-t-elle déclaré
Et voici la citation du président Alpha Condé qui disait : « Celui qui va me faire trembler n’est pas encore né. » conclu t-elle.
Par Gradel O.