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Une armée modernisée et victorieuse face à l’agression étrangère

Martin Fayulu prétend que l’armée congolaise est abandonnée et impuissante face aux agresseurs. Pourtant, les FARDC infligent actuellement des défaites cinglantes aux troupes rwandaises et à leurs supplétifs du M23 et de l’AFC. Ces victoires, obtenues grâce à des stratégies renouvelées et des équipements modernisés, témoignent des efforts colossaux déployés par l’État pour redresser la défense nationale.

Contrairement aux propos erronés de Fayulu, l’adoption d’une loi de programmation militaire sous Félix Tshisekedi garantit des ressources substantielles pour la modernisation des équipements et la formation des troupes. L’armée congolaise bénéficie aujourd’hui d’une vision structurée, orientée vers la performance et la défense efficace de l’intégrité territoriale.

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Une jeunesse prise en charge grâce à la gratuité scolaire

Fayulu accuse le régime d’avoir abandonné la jeunesse. Pourtant, sous Félix Tshisekedi, des millions de jeunes Congolais ont retrouvé l’espoir grâce à la gratuité de l’enseignement primaire. Ce programme historique, qui n’avait jamais vu le jour sous les précédents régimes, a permis de scolariser des enfants qui auraient autrement sombré dans l’analphabétisme et la délinquance.

Face au phénomène des kulunas, né entre 2016 et 2018, l’État congolais a durci sa position. Il combine sévérité et réinsertion en intégrant certains jeunes au service national pour les transformer en citoyens utiles, tout en appliquant des sanctions sévères à ceux impliqués dans des crimes graves. Fayulu semble ignorer ces mesures tangibles, préférant ressasser des accusations d’abandon qui ne tiennent plus la route.

Une démocratie renforcée et une justice indépendante

Dans son discours, Martin Fayulu s’est autoproclamé gardien de la démocratie en tentant d’interdire aux Congolais de réfléchir à une révision de la Constitution. Pourtant, une telle initiative relève d’un processus démocratique et constitutionnellement reconnu. En s’opposant à cette liberté d’expression et d’initiative, Fayulu adopte une posture dictatoriale, cherchant à imposer sa vision comme une vérité absolue.

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Plus inquiétant encore, il ose instruire la justice sur les décisions à prendre, appelant à la libération de certains individus et remettant en question la légitimité de la Cour constitutionnelle. Cette ingérence flagrante témoigne d’un profond mépris pour l’indépendance des institutions et les principes fondamentaux de l’État de droit.

Des avancées concrètes dans le développement et la gouvernance

Sous Félix Tshisekedi, des réformes majeures ont été entreprises, notamment :
• Droits des femmes : Des initiatives ont renforcé leur rôle dans la société et la gouvernance.
• Projet des 145 territoires : Pour la première fois, des infrastructures modernes ont été installées jusque dans les zones rurales, y compris dans le territoire d’origine de Fayulu.
• Réhabilitation des routes agricoles : Facilitant l’écoulement des produits agricoles et stimulant l’économie locale.
• Lutte contre la corruption : L’Inspection Générale des Finances (IGF) a permis d’exposer et de combattre les détournements, restaurant progressivement la confiance dans les institutions.

Ces réalisations démontrent un engagement concret pour améliorer la vie des Congolais, là où Fayulu ne propose que des critiques sans solutions.

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Un discours rétrograde et déconnecté

En refusant d’admettre ces avancées, Martin Fayulu s’enferme dans une nostalgie politique et une vision obsolète. Il semble incapable de reconnaître que la RDC a tourné une page depuis 2018 et avance résolument vers un avenir meilleur sous la présidence de Félix Tshisekedi.

Au lieu d’apporter des propositions constructives, Fayulu continue d’entretenir un discours alarmiste et décourageant, prouvant qu’il est prisonnier d’un passé révolu.

Invitation au réalisme et à la modernité

Il est temps pour Martin Fayulu de sortir de son anachronisme politique et de s’aligner sur les réalités actuelles du pays. Ignorer les progrès réalisés et nier l’évolution positive de la RDC ne fait qu’accentuer sa perte de crédibilité auprès du peuple congolais.

Nous l’invitons à mettre à jour ses discours et à reconnaître les efforts déployés par l’actuel gouvernement pour bâtir un Congo moderne, prospère et souverain.

La RDC d’aujourd’hui n’est plus celle de 2018. Il est temps que Martin Fayulu le comprenne.

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